"Les Cahiers de la ville responsable", en partenariat avec Enedis, organisent du 1er octobre au 30 novembre un débat participatif sur les compteurs communicants. Cette démarche d’information et d’écoute répond aux questionnements des français et à la demande formulée par le Ministère de la transition écologique et solidaire" (présentation du "débat participatif Linky" sur le site mis en ligne à cet effet).
Objectif : "Proposer des pistes d’amélioration aux modalités de déploiement et rendre concret les usages et services attendus"…
Une initiative qualifiée de pseudo-démocratique et rhabillée sans moufles pour l'hiver sur le website "Pièces et Main d’Oeuvre" (atelier de bricolage pour la construction d’un esprit critique à Grenoble).
Introduction :
"A ceux qui s’interrogent sur l’opposition à Linky, Gazpar et autres capteurs communicants, Enedis vient d’en confirmer l’ampleur en lançant le 1er octobre un pseudo « débat participatif Linky ».
Débattre du mouchard électronique trois ans après le début de son déploiement et alors que des millions de foyers se le sont déjà vu imposer, cela vous rappelle quelque chose ? Oui, la campagne de pseudo-débats sur les nanotechnologies organisée en 2009-2010 par le gouvernement (via la Commission nationale du débat public - CNDP), trois ans après l’inauguration de Minatec, premier pôle européen de nanotechnologies, à Grenoble. Ou les pseudo-débats sur l’enfouissement des déchets nucléaires à Bure, avec cette même CNDP, en 2005 puis en 2013, vingt à trente ans après la décision d’enfouir les déchets nucléaires dans la Meuse.
Comme à chaque fois, le recours au pseudo-débat participatif signale une révolte d’opinion et la nécessité de la mater pour faire comme prévu. C’est le coup du débat après coup…" ▼
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-> Complément : communiqué de l'assoc. Robin des Toits.
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