Nous savons que les arbres sont les poumons de la planète et essentiels à l’environnement. Mais ce ne sont pas simplement les grandes forêts qui font la différence. Chaque arbre compte, notamment dans les zones urbaines.
Plus il y a de jardins publics dans les cités, plus la mortalité liée à la pollution y décroît.
Une étude réalisée par le Service des forêts des États-Unis nous révèle ainsi qu'en contribuant efficacement à l'élimination des particules fines dans l'air, cause de « mortalité prématurée, d’inflammation pulmonaire, d’athérosclérose accélérée, et de fonctions cardiaques altérées », les arbres et les forêts urbaines « sauvent, en moyenne, une vie chaque année dans la ville.
À New York, ils sauvent en moyenne huit vies par an. »
Outre le fait que les forêts urbaines améliorent la vie des gens en nettoyant l'air et l'eau et en réduisant les coûts énergétique, une autre étude récente établit en effet l'évidence d'une corrélation entre la perte d’arbres et les décès humains. Moins d'arbres, plus de décès...
En clair, si les arbres meurent, nous mourrons aussi. Responsables politiques et citoyens avisés savent désormais ce qu'il leur reste à faire : planter.
Et préserver, voire sauvegarder...
Source : www.greenetvert.fr