Transformer le Black Friday en Climate Friday -> mode d'emploi...
S'Molshemer blog
Christian Weiss
Bruno Freyermuth
Mieux Vivre Obernai
Jean-Louis Boehler
Renaud Fausser
Jean Vogel
Info Bruche
VU par ICI
Collectif SEPT Bruche
La Counôtt de la Haute Bruche
Synergie Erno
Section Mundo
Pumpernickel
Le blog de Bickel
Parti Pirate Alsace
L'Agité du local
La Feuille de Chou
d'Molshemer Zitung
EELV Bruche-Piémont
Soultz
Infodémo
Blog Plaine
Transformer le Black Friday en Climate Friday -> mode d'emploi...
Pour la réussite de cette manifestation, merci d’amener vos plants et vos outils de plantation.
...puis démenti
Le 17 novembre sera le samedi tourneboulé que l'on sait. Et le lendemain 18 novembre, un dimanche à noter dans nos agendas en vue de participer en nombre à la fête de la paroisse protestante de Bischheim, laquelle héberge les grévistes de la faim anti-GCO. Et de lui manifester ainsi concrètement notre soutien (ainsi qu'aux jeûneurs) notamment face au maire bischheimois qui aurait incité, selon le collectif GCO Non merci !, au boycott de cette manifestation… Un appel au boycott in fine démenti par la paroisse concernée :
Ceci rectifié, l'invitation à la fête tient toujours... (-_-)
Dans le numéro d'octobre 2018 d'Info CP, lettre d'information mensuelle de l'UEPAL, Christian Albecker (président de l'Union des Eglises protestantes d'Alsace et de Lorraine) réitère via son édito reproduit ci-dessous, son soutien aux pasteurs et paroisses entrées en résistance au projet GCO :
"Depuis 2007, les Églises chrétiennes d’Europe célèbrent en septembre le temps de la création (voir Édito d’Infos CP septembre 2018 de Christian Krieger). Le 8 septembre était la « journée mondiale d’action pour le climat », qui selon les observateurs, a suscité en France la plus grande manifestation pour le climat jamais organisée dans l’Hexagone. La prise de conscience de l’« urgence climatique », avec son cortège de catastrophes naturelles et d’injustices croissantes pour l’accès aux ressources de la planète, gabegie pour les uns, misère pour les autres, affecte de plus en plus nos consciences et nous invite à une véritable conversion collective de nos modes de vie.
Dans notre « pré carré » alsacien, cet enjeu se traduit de manière aigüe par la « crise du GCO ». Confrontés à une situation concrète, des paroisses, avec leurs conseils et leurs pasteurs, se sont mobilisés contre cet équipement. Je suis interpelé à ce sujet par des membres de notre Église, des élus, des responsables économiques : est-ce le rôle des pasteurs et des paroisses que d’intervenir dans ce type de débat ? Je réponds : oui, bien sûr ! Si les déclarations d’intention de nos assemblées et nos labels « Église verte » ne sont pas que du « verdissage » (en anglais greenwashing) pour notre « marketing ecclésial », alors il arrive que dans des situations concrètes il faille « se mouiller » et prendre quelques risques ! Je ne sais pas si Dieu est pour ou contre le GCO (bien que j’aie ma petite idée sur la question !) et il ne nous appartient pas de le convoquer, même pour des causes que nous croyons justes (l’histoire nous a montré à quel point cela pouvait être dangereux !). Mais Jésus a prêché la justice et la paix pour ici et maintenant, et c’est notamment pour des raisons politiques qu’il a été crucifié. À cause de l’Évangile, nous avons donc le droit, et même le devoir d’interpeller les pouvoirs publics sur des situations d’injustice, sur le sort des réfugiés ou sur la manière dont est prise en compte la crise écologique que nous vivons.
Je suis allé à Kolbsheim rencontrer les pasteurs et la poignée de ZADistes. J’y ai trouvé des personnes, notamment la vice-présidente du Conseil presbytéral, choquées profondément par ce qu’elles avaient vécu et la violence déployée envers des personnes pacifiques. La gestion du dossier du GCO est à ce titre très problématique : la manière dont les décisions ont été prises et mises en œuvre, sans tenir compte de toutes les consultations et avis défavorables, donne l’impression que ces enquêtes ne sont que de pure forme, pour une décision déjà prise par avance. Cela met en cause la confiance dans la démocratie représentative : j’en veux pour preuve le fait inquiétant que des manifestants du 8 septembre ont déchiré leur carte d’électeur.
Celles et ceux qui critiquent le projet – experts environnementaux, élus locaux, responsables associatifs ou représentants des cultes – ne sont pas tous des illuminés irresponsables. Et je peux témoigner du fait que les pasteur(e)s qui se sont impliqué(e)s dans ce débat le font aussi dans le cadre de leur responsabilité pastorale d’accompagnement de leurs communautés et des personnes engagées sur le terrain. Ils et elles ont ainsi contribué, comme je les y ai rendu attentifs, au caractère pacifique des manifestations et à l’évitement des débordements violents.
Certes, les ZADistes sont des utopistes, qui rêvent d’un monde radicalement autre. Ils sont sensibles au fait que des chrétiens les accompagnent au nom de leur foi. Ils m’ont rassuré sur le fait que dans notre monde de réalités impitoyables il soit encore permis de rêver."
Christian Albecker, président de l’UEPAL
"Les Cahiers de la ville responsable", en partenariat avec Enedis, organisent du 1er octobre au 30 novembre un débat participatif sur les compteurs communicants. Cette démarche d’information et d’écoute répond aux questionnements des français et à la demande formulée par le Ministère de la transition écologique et solidaire" (présentation du "débat participatif Linky" sur le site mis en ligne à cet effet).
Objectif : "Proposer des pistes d’amélioration aux modalités de déploiement et rendre concret les usages et services attendus"…
Une initiative qualifiée de pseudo-démocratique et rhabillée sans moufles pour l'hiver sur le website "Pièces et Main d’Oeuvre" (atelier de bricolage pour la construction d’un esprit critique à Grenoble).
Introduction :
"A ceux qui s’interrogent sur l’opposition à Linky, Gazpar et autres capteurs communicants, Enedis vient d’en confirmer l’ampleur en lançant le 1er octobre un pseudo « débat participatif Linky ».
Débattre du mouchard électronique trois ans après le début de son déploiement et alors que des millions de foyers se le sont déjà vu imposer, cela vous rappelle quelque chose ? Oui, la campagne de pseudo-débats sur les nanotechnologies organisée en 2009-2010 par le gouvernement (via la Commission nationale du débat public - CNDP), trois ans après l’inauguration de Minatec, premier pôle européen de nanotechnologies, à Grenoble. Ou les pseudo-débats sur l’enfouissement des déchets nucléaires à Bure, avec cette même CNDP, en 2005 puis en 2013, vingt à trente ans après la décision d’enfouir les déchets nucléaires dans la Meuse.
Comme à chaque fois, le recours au pseudo-débat participatif signale une révolte d’opinion et la nécessité de la mater pour faire comme prévu. C’est le coup du débat après coup…" ▼
-> Lire l'intégralité :
- version html
- version pdf
-> Complément : communiqué de l'assoc. Robin des Toits.
Une trace du papillon
Projection/débat du film documentaire "Razan, une trace du papillon" en présence du réalisateur Iyad Alasttal et des parents de Razan, à Strasbourg le 13 octobre 2018 (19h) à l'Eglise du Christ Ressuscité, 4 rue de Palerme (Esplanade).
Le gland,
symbole de résilience en milieu hostile
"- Puisque les pouvoirs publics et les lobbies n’ont que faire de nos Marches pour le climat et de notre inquiétude grandissante, et le montrent bien moins d’une semaine plus tard en votant contre l’interdiction du glyphosate,
- puisque nos dirigeants n’ont rien de plus urgent à faire que dépenser 500.000 euros pour rénover la salle des fêtes de l’Elysée, et oser le faire savoir sans rougir à l’heure où plus d’une personne sur cinq (21%) admet avoir du mal à se procurer une alimentation saine lui permettant de faire trois repas par jour,
- puisque ceux qui nous gouvernent nous ignorent en tant que citoyens, si nous les ignorions en tant que consommateurs ?"
Juste pour voir… lire la suite -> ici...
La Radio Télévision Suisse (RTS) a diffusé hier samedi, dans le cadre de son magazine hebdomadaire "Faut pas croire", un reportage-débat sur le thème "La planète, une « zone à défendre » pour les Eglises ?"
Synopsis : A Kolbsheim en Alsace, une pasteure s’engage depuis deux ans aux côtés des zadistes et de ses paroissiens contre le projet autoroutier de contournement de Strasbourg (GCO). Résister, est-ce un devoir moral ? Les Eglises doivent-elles s’engager dans une lutte de terrain pour préserver la planète ?
-> Reportage et débat ci-dessous (durée : 29:35 - C'est aujourd'hui dimanche et on a un peu de temps…) :
L'avènement du compteur "intelligent" Linky ne cesse de faire débat tous azimuts, jusque dans les hauteurs bruchoises, à Bellefosse plus précisément où l'on ne s'éclaire pas qu'à la bougie (sauf pour le fun)…
Un débat localement reboosté par le progressif remplacement à venir (dès novembre prochain) des actuels mais toujours parfaitement fonctionnels compteurs électriques.
A la manœuvre, le "Groupe Linky non merci Bruche-Piémont" dont l'un des membres (très éclairé et éclairant sur le sujet) décortiquera ce jeudi 20 septembre les escomptables conséquences de l'installation dans nos foyer de cet équipement "communicant" (mais pas seulement) : ▼
...du cinéma Le Rohan - Mutzig
-> Programmation
Pour suivre votre député à la trace (parlementaire) :
-> cliquez "coucou.je-suis-là.fr"
Pour accéder à la version polyglotte
du blog, traduit en 55 langues
modimes et dominantes,
--->
actionner la moulinette
__________________________________
- Spécimen de Stierkopf -