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  • : S'Molshemer blog
  • : Contemplation + ou - critique d'une belle assoupie dans son alcôve territoriale, assortie de coups d'oeil ailleurs...
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The ultimate selfie

poleurs.jpg(Dessin Poleurs)

7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 00:05

Survol de la zone d’emploi
de Molsheim-Obernai
PANORAMA-ECONOMIQUE_ZE-MOLSHEIM-OBERNAI_2014-11-copie-1.jpg

Créateurs d'entreprises, professionnels ou collectivités locales ont besoin de parfaire leur compréhension du territoire pour évaluer le marché, estimer et planifier leur activité future ou encore élaborer des projets de développement. 

En ce sens, les Chambres de Commerce et d’Industrie d’Alsace se sont dotées d’un double objectif : améliorer et rendre accessible à tous la connaissance de l’espace économique régional et des dynamiques de développement local.
Notamment par le biais des "Panoramas économiques" présentant toutes les données statistiques disponibles et accessibles en ligne sur le portail de l’économie alsacienne, Alsaeco.com

Témoin des nombreuses ressources qui convergent sur son territoire, le Panorama économique de la zone d’emploi de Molsheim-Obernai (édition 2014) dresse ainsi le tableau d’ensemble de l’organisation économique du périmètre (démographie, formation, transports et déplacements, entreprises, emploi, industrie, commerce et tourisme).
Véritable outil d’aide à l’analyse, il expose de façon claire, synthétique et objective les déterminants économiques du territoire étudié.

-> Téléchargement (114 pages, pdf) 

Sources : CCI d’Alsace, INSEE, URSSAF, Pôle Emploi, DREAL, …).

Contact : Chambre de Commerce et d’Industrie de Région Alsace - Direction Information Economique (Mlle Hélène Patfoort) - Courriel.


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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 09:12

Y compris dans les trois villes-phares alsaciennes : Mulhouse (taux de pauvreté : 31 %), Strasbourg (24 %) et nàtürlich Colmar (19 %). Lesquelles apparaissent respectivement aux 12e rang (Mulhouse), 30e rang (Strasbourg) et 54e rang (Colmar) du Top 100 des plus grandes communes de France à cet égard décryptées (cf le tableau ci-dessous), établi par le bureau d'études Compas.

Pour faire court, c'est la ville de Roubaix qui endosse le "maillot jaune" de ce panorama des inégalités en France (DOM-TOM compris), la lanterne rouge revenant sans surprise à… Neuilly-sur-Seine.

En savoir plus et davantage sur l'entre-deux, outre le tableau ci-dessous : -> « Les taux de pauvreté dans les 100 plus grandes communes de France », Compas études n°11, Compas, janvier 2014.

Voir aussi plus globalement : www.lecompas.fr.

Parcourir enfin avec profit l'analyse du site "Observatoire des inégalités".

pauvrete_100_villes.jpg

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25 janvier 2014 6 25 /01 /janvier /2014 07:17
...encore de l'argent,
et toujours plus d'argent !
°
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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 02:57
Adoptez un élu !

Unknown.jpeg

Non, pas vous, citoyens-lambdas constitutifs du corps électoral de base, mais les patrons de TPE/PME appelés à jouer les nounous des élus de la République, issus pour la plupart de la fonction publique ou exerçant des professions trop éloignées du monde des petites entreprises pour en appréhender tous les rouages et les multiples facettes.

Depuis le 20 juin 2013 en effet, le site "Adoptez un élu" incite les TPE/PME à accueillir en leur sein ces décideurs politiques pour de courts séjours destinés à les immerger dans un environnement qu'ils méconnaissent trop souvent.

Argumentaire : "En effectuant un court stage dans une TPE/PME, les élus pourront développer des relations plus personnelles avec des responsables d'entreprises, et ainsi disposer de relais dans le monde économique pour échanger avant de prendre des décisions impactant les entreprises, et donc l'emploi.

L'économie a le sentiment de ne pas être comprise par le politique. Et pour que cela change, il faut que les acteurs de ces deux mondes se parlent.

Le dialogue et la meilleure connaissance des autres, sont les meilleures solutions pour résoudre les problèmes. Car n'oubliez pas que, si vous ne faites pas partie de la solution, vous faites partie du problème..."

Pour adopter ou être adopté -> c'est par ici…


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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 05:59

Jeder-vierte-Arbeitslose-ist-direkt-auf-Hartz-IV-angewiesen.jpg
Dans une récente tribune publiée dans le Financial Times, un certain Gerhard Schröder vante le modèle économique de son pays, appelant la France à "copier les réformes de l'Allemagne pour prospérer." 

On se souvient qu'au début des années 2000, cet ex-chancelier avait lancé un vaste plan de réformes, baptisé Agenda 2010 (lois Hartz) destiné à flexibiliser le marché du travail et à permettre ainsi à l’Allemagne d'affronter au mieux la crise économique actuelle. Mission accomplie… apparemment, mais à quel prix ?

Un article d'Eurojournal nous dévoile cette semaine les mécanismes d'exclusion mis en oeuvre dans les Agences fédérales pour l’Emploi et... pointées sans ambages par la Cour des Comptes allemande dans un rapport d'enquête tristement édifiant :

"Une tâche sur le système allemand

(KL) – Depuis longtemps, l’Europe regarde avec de grands yeux les chiffres du marché de l’emploi allemand. Avec un taux de chômage qui se situe largement en dessous des chiffres des partenaires européens, l’Allemagne fait figure de « premier de la classe » en matière d’emploi. Pourtant, le système ne fonctionne que parce qu’il laisse les plus faibles et les plus démunis en rade. Du moins, c’est ce qu’une enquête de la Cour des Comptes allemande a relevé.

Lors de cette enquête, la Cour des Comptes avait regardé de près sept agences pour l’emploi ainsi que sept directions régionales pour trouver partout les mêmes problèmes – les Agences pour l’Emploi allemandes s’occupent surtout des chercheurs d’emploi ayant les meilleures chances sur le marché de l’emploi – les autres chercheurs d’emploi dits «difficiles à placer» sont souvent laissés pour compte. La raison de cet état des choses est purement administrative, explique le rapport.

Car chaque agence pour l’emploi doit remplir des objectifs en termes du nombre de chercheurs d’emploi placés. Dans le monde administratif, il s’agit d’un jeu de chiffres sans tenir compte de la situation de la «clientèle». Car les collaborateurs des agences marquent des points dans leur propre évaluation pour chaque placement, tandis que l’entretien avec un chercheur d’emploi «difficile», par exemple en vue d’une mesure de qualification, ne compte qu’en cas de placement après. Sinon, cet entretien est considéré comme une perte de temps. Et le conseiller à l’agence ne marque pas de points.

Le prix que paye l’Allemagne pour sa relative réussite par temps de crise, est élevé. Ce sont les plus faibles de la société qui en font les frais, car il tombent à travers le filet social de la société. Pourtant, la logique voudrait que ceux qui en ont le plus besoin, reçoivent le maximum de soutien. Mais dans un monde dirigé par les statistiques, on préfère aider ceux qui à la limite, pourraient aussi se débrouiller sans aide. Au détriment de ceux qui en ont réellement besoin.

Est-ce que ce système social allemand peut servir comme modèle européen de relance ? Certainement pas, car le sacrifice des acquis sociaux, comme on l’observe dans les pays du sud de l’Europe, crée les fondements pour toute sorte d’extrémisme politique. La paupérisation des sociétés européennes constitue, comme c’était souvent le cas dans l’histoire, la base pour les catastrophes qui arriveront dans 10, 15 ou 20 ans.

Bien sûr, ce froid social qui exclut de plus en plus de citoyens et citoyennes de la vie en société, permet chaque mois la publication de chiffres qui suscitent la stupeur. Comment fait l’Allemagne pour présenter, en plein phase de crise, de tels chiffres ? La réponse en est simple – en sacrifiant les plus faibles de la société. Pourtant, la qualité d’une démocratie se manifeste dans le traitement de ses éléments les plus faibles. Mais ceux-ci n’ont malheureusement pas de lobby puissant."

Tout est dit...


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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 07:49

Bank sei Dank ! Mais où donc ? 

Pour l'heure le concept germe en Belgique, mais un essaimage n'est pas à exclure. Dès lors, et en attendant que cette démarche bourgeonne par delà les frontières, prenons-en de la graine sur New B, clip à l'appui et manifeste en sus, sous la vidéo :


Manifeste pour une banque par et pour le citoyen.
La crise financière a démontré que le système bancaire fonctionnait mal.  Je n’accepte pas que les changements nécessaires se fassent attendre davantage.


Je revendique
 :

- Une banque 
qui m'appartienne et nous appartienne. Avec des milliers d'autres, citoyens et associations, je participe à la création d'une banque proche des gens. Ensemble, nous collaborons et fixons les règles parce que nous voulons que notre argent soit utilisé à bon escient et qu’il puisse aussi servir (à) la collectivité.

- Une banque dont le fonctionnement est 
clair et transparent. Exit les produits compliqués ou issus de l'économie casino, bienvenue aux produits et services attendus d'une banque sure et digne de ma confiance.

- Une banque qui prône la 
sobriété. Sans palais, parachute ou bonus. Elle s'avère rentable grâce à une gestion économe, efficace et professionnelle. Une banque dans laquelle je me reconnais, à la fois sensible aux différences entre les individus et destinée à tous.

- Une banque dont l'argent soutient 
l’économie réelle. Pas de place pour la spéculation mais une contribution affirmée à l’économie locale et durable. D'un côté, investir dans des produits et services innovants avec une plus-value sociale et environnementale et de l'autre, exclure les activités aux effets néfastes pour la société.

Je veux soutenir cette alternative qu'est la création d’
une autre banque. J’achète une part-start dans la coopérative New B car je ne veux plus attendre.  C'est seulement en agissant ensemble que nous pourrons construire notre banque.  J'y prends part !

-> En savoir plus


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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 07:00

61703_10200137532554267_1316457752_n.jpgDéballage patrimonial :
Le-mal-logement-est-devenu-une-machine-a-exclure_reference.jpg-> Se risquer plus loin : le mal-logement


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2 janvier 2013 3 02 /01 /janvier /2013 10:05
Qui a dit localement, dans l'actuel concert des bilans retro-prospectifs 2012/2013 et concernant plus particulièrement les emplois d'avenir destinés aux jeunes en difficulté : 

- d'une part : "Je n’aime pas trop cette philosophie. Plutôt que de signer cinq, huit ou dix contrats d’avenir sans réelles perspectives, je me limite à un seul. Et si ça marche, on garde la personne. Il y en aura peut-être un jour un second, mais pas plus".
-> Le député Laurent Furst 
(Source).

- et d'autre part : "... je reste très concerné par la jeunesse en grande difficulté. Le chômage des jeunes doit être une priorité et tout doit être fait pour tenter de leur mettre davantage le pied à l’étrier. Ne faisons pas preuve de sectarisme, j’espère que les communes et associations se saisiront des dispositifs gouvernementaux tels que les emplois d’avenir. C’est important." ?
-> le conseiller général Philippe Meyer (Source).

En clair, deux violons UMP désaccordés... A l'image de leur discordant  rassemblement mouvement.
stock-photo-2630415-old-broken-violin.jpg


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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 18:02

Bidonville-Hotel-Sao-Paulo-640x368.jpg
Sentiment de "vertige" ce matin à la lecture de l'article DNA :
"Le luxe en ligne de mire"

En effet, non seulement l'hôtellerie haut de gamme ne connaîtrait pas la crise à l'international, mais de surcroît elle la zapperait insolemment : le taux de croissance 2011 avoisinerait 9 % et s'accroîtrait de 12 % d’ici 2014, tandis que les investissements 2012 atteindraient d'ores et déjà les 9 milliards d’euros rien que pour la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique.

Vertige donc... et malaise à la clé.

Car quand bien même le cocooning de luxe pour quelques-uns constituerait un marché d'investigation et de développement non négligeable pour le savoir-faire des PME alsaciennes en la matière (tant mieux pour elles et leurs salariés), difficile de parcourir sans état d'âme ce type d'info, limite surréaliste, sur fond de crise menaçante, d'austérité quasi-institutionnalisée à coup de "règle d'or" (MES - Mécanisme Européen de Stabilité), et de précarité matraquée au coin de la rue.

Difficile de gommer l'image contrastée en filigrane de ces campements Roms bulldozérisés, de ces familles refoulées d'un cloaque à l'autre voire chartérisées, bon an mal an, vers leur misère roumaine, bulgare ou autre d'origine. 

Et au-delà de cette actualité de premier-plan, difficile d'escamoter en arrière-plan la réalité de moins en moins discrète des bidonvilles français et du très-mal-logement affectant des centaines de milliers de nos concitoyens.

Parallèlement, on note au passage que le PAMA (Pôle d'Aménagement de la Maison en Alsace) se manifestera au prochain salon Equip’Hôtel (novembre 2012) dans le cadre d'un stand collectif mettant en scène une suite d’hôtel haut de gamme de 160 m² dessinée par un designer et aménagée par 15 entreprises de la région.
Objectif : mettre en lumière l'expertise alsacienne dans le domaine de l'habitat de grand luxe...

Périphériquement se déroule d'ores et déjà un concours d'architecture d'intérieur (Home Suite Home Award) ouvert à tous les étudiants d’avant dernière et dernière année dans cette filière d'avenir, ainsi qu’aux jeunes diplômés ayant moins de 2 ans d’expérience (page Facebook). 
L'idée : création d’une suite luxueuse de 90 m2 dans une grande ville !
Critères d’évaluation : fonctionnalité (utilisation, exploitation, maintenance), esthétisme, luxe, technique, créativité et qualité de présentation.

-> A quand un concours d'architecture humanitaire (Roms Suite Roms Award, extensivement SDF Suite SDF Award) pour création de "suites" de survie alliant habitabilité, salubrité, équipements décents, accès aux "fluides" (eau, gaz, électricité) et non coupés de ce que l'on appelle la "société" (services publics, sociaux et de santé, écoles, magasins, emplois...) ?


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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 00:15

crise-de-la-dette.jpg"Il paraît que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c'est une crise. Depuis que je suis petit, c'est comme ça" affirmait Michel Colucci, dit Coluche dans son sketch "Le chômeur".

Abondant dans son sens, le site web Hérodote.net, spécialisé dans l'injection online de documents d'Histoire, surenchérit ce constat mémoriel en situant l'amorce de nos soucis financiers dès le... XIIIe siècle (Saint Louis) !
Et en en égrenant, sous la plume de Max Fourny, le déroulement historique au fil d'un travelling arrière fort documenté, intitulé : "Comment les rois de France" (et leurs successeurs, ndlr) réglaient leurs dettes".

Introduction : "Depuis Saint Louis, les finances de la France ont l’habitude d’être dans le rouge… Et pour rétablir l’équilibre des comptes, chaque roi a sa recette miracle. Emprunt, impôts, spoliation, faillite, tout est bon pour remplir les caisses. Instructif, mais pas forcément transposable !" 
Certes, mais en tous les cas étrangement prémonitoire et s'inscrivant globalement en prémice des turbulences qui secouent ce début de deuxième décennie du XXIe siècle.

Survol ultra-synthétique, en un vertigineux raccourci * :

- Aux premiers temps, pas d’impôts ni de taxes.

"...si ce n’est des contributions exceptionnelles que l’on réclame aux bourgeois ou à l’Église en faisant valoir l’urgence du moment et l’intérêt général."

- Des guerres dispendieuses.

Le Trésor part en quenouille au XIIIe siècle suite aux ruineuses croisades engagées en Terre Sainte, et plus tard à la guerre de Cent ans, source de l'établissement du premier impôt permanent. "La boulimie fiscale ne va désormais plus avoir de limite, en lien avec la croissance de l’État et de ses attributions."

- Haro sur la dette.
"Leurs dépenses croissant souvent plus vite que les recettes, les rois remédient au déficit de différentes manières" :
Solution 1 : augmenter les impôts.
Solution 2 : écorner la monnaie.
Solution 3 : rançonner les banquiers.
Solution 4 : faire un «beau» mariage.
Solution 5 : se déclarer en défaut de paiement.
Solution 6 : fabriquer de la monnaie.
Solution 7 : spolier les possédants.

- La dette, plus actuelle que jamais.

Après la chute de l'Empire, en 1815 et la révolution industrielle "tout se gâte avec la Grande Guerre de 1914-1918", coûteuse en ressources humaines mais aussi financières. Et source d'endettement massif et de déficits budgétaires en cascade, avec leurs classiques conséquences : impôts nouveaux, inflation rampante, dévaluation, émission de monnaie papier, nationalisation du secteur bancaire…

- Rigueur budgétaire contre instabilité monétaire.
Au fil des ans, budgets et balances commerciales sont spasmodiquement chahutés : dévaluation, crise boursière et déflation se succèdent jusqu'à l'embellie des «Trente Glorieuses», précédant le retour des déficits chroniques dans les années 1970, et l'endettement exponentiel de l'Etat jusqu'à nos jours...

* Narration détaillée de cette saga multiséculaire : article intégral.


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le_rohan__470.jpgSoutenez les petites salles !

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