-> Résistance !Mais pas n'importe comment = 10 choses à ne pas faire :
▼
Boire glacé
Boire des jus de fruits bien frais
Boire des bières
Prendre des douches froides
Faire du jogging dans la pollution à l’ozone
Harceler les personnes âgées pour les faire boire
Manger très peu
Mettre la clim’ de la voiture à 20 °C
Ouvrir toutes les fenêtres
Ne penser qu’à sa propre santé
En savoir plus en détail sur chacune des mises en garde ci-dessus ->ici...
(Source Futura-Sciences)
En tête d'article, un dessin revisité/réacclimaté du regretté Chimulus ________________________
Que faire au quotidien pour réduire nos déchets ? Cuisiner différemment, récupérer et réutiliser,...et ce à tout âge sans que ce soit compliqué ou contraignant !
Ateliers proposés au Salon de Suzon :▼
-> Mercredi 17 juillet (14h-17h30) : cuisine anti-gaspi - stop au suremballage - fabrication de bee wrap - produits d'entretien maison.
Goûter partagé.
-> Jeudi 18 juillet (14h-17h30) : prendre soin de soi et de la planète, je crée mes cosmétiques maison.
Goûter partagé.
-> Vendredi 19 juillet (11h-17h30) : brunch partagé - création d'une zone de gratuité et troc - esprit récup' : customisation petits objets, meubles, boîtes.
Intergénérationnel à partir de 5 ans, ados, adultes.
Tarifs : pour 1 après-midi : adulte 15€ et enfant 10€ - Pour les 3 après-midis : adulte 40€ et enfant 25€.
Inscription : 07 82 32 43 80 - Courriel - Facebook Co-animé par Carole Behr-Kohser, Céline Johann et Véronique Daul.
Lieu : Le Salon (ou Cabane ?) de Suzon - 7, rue Jenner à Molsheim (localisation).
Qui dit Tour de France, pense "accessoirement" dopage : difficile d'éradiquer cette association subliminale de l'imaginaire collectif tant l'histoire de cette épreuve cycliste, parmi d'autres pratiques sportives, est marquée par ce cancer persistant.
Et ce quand bien même de conséquentes thérapies de contrôle sont déployées crescendo à son encontre. Un fléau qui, une fois apparemment flanqué à la porte, a le don toxique de s'instiller pernicieusement par la fenêtre, parfois à l'insu du plein gré des coureurs eux-mêmes via l'ingestion, par exemple, de compléments alimentaires à l'étiquetage trompeur.
Le website "cyclisme-dopage.com" a passé au crible les Tours des cinquante dernières années, depuis 1968, année où fut épinglé pour la première fois un cycliste pour dopage avéré. Et synthétisé le tout en un tableau révélant un paysage moins bucolique que ceux parcourus au fil de la course : un tiers des participants au Tour auraient ainsi croisé le dopage, près des deux-tiers parmi les dix premiers à Paris, environ les trois-quarts des bouquets du podium et 76% des maillots jaunes.
Ceci dit, "le cyclisme n'est plus le vilain petit canard" en la matière, estime le patron du Tour, même si force est de constater que "le sparadrap du dopage lui colle toujours à la peau".
Assurément, un paquet de kilomètres sur le bitume reste encore à parcourir pour s'en débarrasser jusqu'à éradication (hypothétique) du phénomène.
Malgré leur amour du vélo et des paysages français, des parlementaires et ONG déplorent que le Tour de France soit prétexte à la distribution d’une avalanche de produits en plastique, qui viendront bien vite encombrer les décharges ou polluer les océans.
15 millions de "goodies" en l'occurrence, distribués cette année à la volée par la caravane publicitaire qui accompagne l'évènement, au grand dam notamment de 34 députés signataires de la tribune ci-dessous, récemment publiée dans le Journal du Dimanche :
Comme beaucoup de Français, nous aimons retrouver le Tour de France, lors d’une étape près de chez soi ou de son lieu de vacances, et nous aimons le vélo. Le Tour est une extraordinaire vitrine pour notre pays, une carte postale sans cesse renouvelée qui donne à rêver de nos paysages, de nos terroirs et de notre art de vivre.
Comme une grande partie des 10 à 12 millions de spectateurs qui se massent sur les bords des routes de la grande boucle, nous aimons assister au passage de la caravane publicitaire, aussi disproportionnée soit-elle avec son cortège de 20 kilomètres, sa cinquantaine de marques, ses 200 véhicules uniques, entre œuvres d’art et fête foraine... La caravane est tout aussi extraordinaire que le tour lui-même, elle amuse et fait rêver petits et grands avec ses objets publicitaires.
Les organisateurs du Tour, les partenaires et les sponsors de la caravane ne peuvent plus ignorer la pollution plastique qui pollue nos cours d’eau, nos rivières, nos fleuves, nos océans.
Et pourtant, ce sont 18 millions de "goodies" qui sont distribués et jetés dans la nature ! Les "goodies"? De pitoyables breloques en plastique fabriquées en Chine, trop souvent sous blisters, ces terrifiants emballages plastiques inutiles. Tous ces gadgets en plastique, qui ne servent à rien, sont semés chaque année sur les routes de France, comme si tout cela était normal.
Du plastique comme s'il en pleuvait !
Les organisateurs du Tour, les partenaires et les sponsors de la caravane ne peuvent plus ignorer la pollution plastique qui empoisonne nos champs, nos prairies et nos montagnes, qui pollue nos cours d’eau, nos rivières, nos fleuves, nos océans. Il faut agir désormais pour éviter ces pollutions et faire entrer le Tour dans une boucle plus vertueuse.
Oui, la caravane publicitaire serait encore plus belle si elle proposait d'autres modes de publicité que ces objets dispersés sur les routes.
Pourtant, le Tour de France du plastique continue de rouler sur la tête et rien ne semble pouvoir l’arrêter.
Amoureux du Tour plus encore amoureux de nos campagnes, de nos montagnes, de nos communes et de nos territoires, nous demandons aux organisateurs, aux partenaires, aux sponsors de prendre réellement conscience de ces réalités et de réfléchir pour l'avenir à un tour plus écolo avec une caravane publicitaire débarrassée de ces objets plastiques dont nous n'avons pas besoin.
Oui, la caravane publicitaire serait encore plus belle, plus extraordinaire si elle proposait d'autres modes de publicité et de "street marketing" que ces objets dispersés sur les routes. Si elle était débarrassée des plastiques jetables.
En attendant, au-delà du Tour, nous nous adressons aux organisateurs d’événements sportifs et culturels en leur demandant de stopper cette distribution de gadgets en plastique qui finissent au mieux dans les décharges ou les incinérateurs, au pire dans nos océans.
Le monde change, les consommateurs deviennent beaucoup plus exigeants et on leur demande aussi de revoir leur relation aux produits jetables en plastique. Sur cette question, hélas, si au-delà de la sensibilisation et de la prévention, rien ne bouge par la volonté de ceux qui organisent, vendent et consomment, il faudra sans aucun doute légiférer et interdire, afin de prendre nos responsabilités. Pour tout simplement préserver l’avenir de notre planète ; pour que nos enfants puissent vivre eux aussi des moments de fête heureuse dans notre douce France préservée.
Liste des députés signataires (dont un alsacien) :
Députés : François-Michel Lambert (Libertés et Territoires) Bouches-du-Rhône ; Caroline Janvier (LREM) Loiret ; Jean-Felix Acquaviva (LT) Haute-Corse ; Delphine Bagarry (LREM) Alpes-de-Haute-Provence ; Erwan Balanant (MoDem) Finistère ; Émilie Cariou (LREM) Meuse ; Michel Castellani (LT) Haute-Corse ; Annie Chapelier (LREM) Gard ; Mireille Clapot (LREM) Drôme ; Jean-Michel Clément (LT) Vienne ; Paul-André Colombani (LT) Corse-du-Sud ; Frédérique Dumas (LT) Hauts-de-Seine ; M’jid El Guerrab (LT) Français de l’étranger ; Yannick Favennec (LT) Mayenne ; Bruno Fuchs (MoDem) Haut-Rhin ; Yannick Haury (LREM) Loire-Atlantique ; Sandrine Josso (LT) Loire-Atlantique ; Sandrine Le Feur (LREM) Finistère ; Jacques Maire (LREM) Hauts-de-Seine ; Sereine Mauborgne (LREM) Var ; Paul Molac (LT) Morbihan ; Matthieu Orphelin (non inscrit) Maine-et-Loire ; Bertrand Pancher (LT) Meuse ; Sylvia Pinel (LT) Tarn-et-Garonne ; Barbara Pompili (LREM) Somme ; Florence Provendier (LREM) Hauts-de-Seine ; François Pupponi (LT) Val d’Oise ; Nathalie Sarles (LREM) Loire ; Elisabeth Toutut-Picard (LREM) de la Haute-Garonne ; Frédérique Tuffnell (LREM) de Charente-Maritime ; Philippe Vigier (LT) Eure-et-Loir ; Michè lede Vaucouleurs (MoDem) Yvelines ; Cedric Villani (LREM) de l’Essonne ; Jean-Marc Zulesi (LREM) des Bouches-du-Rhône.
Organisations non gouvernementales : Expédition 7e Continent, No Plastic In My Sea, Zero Waste France, Green Cross France, Réseau Déchets Sauvages (ReDeSa), Surfrider Foundation Europe.
Décidément, Molsheim et la bagnole,
ça vire plein gaz au fusionnel !
Outre le rituel Festival Bugatti et dans le sillage du très invasif Cox Show (près de 700 Coccinelles !) voici venir le "Retrorencard" et ses 500 véhicules (!) d’époque de plus de 30 ans, à l'abordage des bucoliques Étangs du Zich à Molsheim.
Et ce le dimanche 4 août, soit trois petites semaines avant le déferlement non moins pétaradant, dans nos murs et nos vignobles, des 130 bolides mythiques engagés fin août dans le Vosges Rallye Festival !
Le tout en avant-goût(s) de la passionnelle session Bugatti 2019… concentrés localisés de gaz à effet de serre en bonus, dioxyde de carbone (CO2) et autres NOx (oxydes d'azote) en rangs serrés... -> Bref, un plein préventif d'oxygène (O²) en antidote est accessoirement recommandé, mais on n'oblige personne...(-_-)
En savoir plus sur le Retrorencard en général -> ici… et sa délocalisation molshémienne en particulier -> là… + Affiche et consignes assorties ci-dessous... ▼
Dans la série "pesticides de synthèse et autres insecticides potentiellement dangereux" (mais néanmoins généreusement épandus) -> rappel d'urgence (pour cause de molécule "Fosthiazate" surdosée !) de pommes de terre commercialisées dans les magasins Lidl :
Bref, plus que jamais à l'entame des repas,
on se souhaite bon courage et bonne chance
plutôt que bon et vertueux appétit !
Par ailleurs et en marge de cette toxique affaire (une mauvaise pioche en l'occurrence), la chaîne de magasins Lidl se targue volontiers de recourir aux producteurs locaux, charte "Made in France" à l'appui...
Ce qui ne l'empêche guère, pas gênée aux entournures, d'internationaliser son rayon maraîcher, entre autres. En "l'enrichissant" à l'occasion de produits d'origines un bessele plus lointaines, telles ces fort orientales patates en provenance... d'Israël ! (bilan carbone non précisé), récemment écoulées par le point de vente molshémien. Les producteurs alsaciens apprécieront...
Ventrebleu ! A quand la choucroute transformée "Made in China" et les knacks recomposées en Albanie ?
Créer de nouvelles sociétés qui respectent le vivant au lieu de le détruire, c'est l'objectif de la Désobéissance fertile, mode de vie choisi par Jonathan et Caroline pour élever leurs enfants (cf vidéo ci-dessous). Et pour instiller, par leur exemple, l’installation de projets collectifs en pleine nature (forêts en péril incluses).
Une démarche qui ne manquera pas de rappeler aux plus anciens le "retour à la terre" et le courant communautaire des années 70 mais sans plus, la philosophie de la Désobéissance fertile ne se limitant plus à vivre à l'ancienne avec filage de la laine, chèvres et potager, mais visant à sortir désormais de l'anthropocène au profit du concept de "Naturocène" : "Vivre au plus près de la Nature tout en participant à la régénération du vivant, sans attendre que la législation évolue en faveur de notre environnement : voici venu le temps de la désobéissance fertile." (Source).
Et ce dans un contexte d'urgence environnementale décuplée, pour ne pas dire absolue. Utopique ? (* liens en fin d'article).
Bon il fait chaud, convenons-en, trop chaud même et sans répit. Pour autant... -> haro sur le soleil ? Imaginons toutefois 2 minutes (et 34 secondes) que celui-ci se mette en grève... :▼
Vous pouvez reprendre vos activités normales. Au sens le plus éco-rafraîchissant de la démarche (à l'ombre). Et en cas de brûlante urgence, composez le 18 : ▼
/fdata%2F1616271%2Favatar-blog-1076706338-tmpphpKrfomw.jpeg){kind=avatar}
